Quel bonheur de vivre avec un homme ... tatoué !

 Wouah, on n'imagine pas comme ça l'effet que ça fait. Mais de passer à non-tatoué à tatoué, ça change finalement pas mal de choses.

Déjà la perception de son propre corps, celle qu'on a de son corps ( quand on vit avec un tatoué ), mais aussi ce qu'il désire au plus profond de sa chair, ce qu'il lui tient tellement à coeur qu'il se le tatoue ...

Il y a de toute façon un avant et un après, le tatouage n'est pas une chose à prendre à la légère. Il y a tout le questionnement du sujet, de l'emplacement, de la grandeur, de la douleur aussi. Est-ce qu'on est suffisament fort pour supporter la douleur de ce que l'on désire, même pour les hommes le dicton s'applique :

" Pour être belle/beau, il faut souffir"

Alors que je te rassure chèr(e) internaute, la douleur est relative selon chaque personne, d'une part. Oui, je sais, ce que je te dis n'est pas fait pour t'aider. D'autre part, il faut savoir que quelqu'un qui a mal souvent ( migraine, règles douleureuses, douleurs osseuses, etc. ...) est plus à même de gérer la douleur du tatouage.

La douleur en elle-même est comparable pour les hommes à un "gros feu de barbe" ou un gros coup de soleil bien rouge, que quelqu'un s'amuserait à gratter, pas fort mais disons le temps du tatouage ; et pour les femmes, à une épilation des jambes sur une peau sèche et iritée ou à l'épilation du maillot. En gros, c'est long, c'est une douleur qui ne fait pas mal mais qui gêne, qui démange. 

Après, attention, il y a certes des endroits qui sont d'emblés plus douloureux que d'autres : près de l'os ( les vibrations qui résonnent dans l'os), là ou la peau est plus fine  ( intérieur du bras, cou, reins, seins, cheville, intérieur des cuisses ... ) et/ou moins accessibles ( tatouage dans le cou, intérieur de la cheville, poignés ...). De toute façon, avant de sauter demandez un maximun de renseignements à votre tatoueur.